Margaux. Tout le monde a toujours voulu me faire croire que j'étais jamais la seule, et m'obliger à être courageuse au nom de la vie des autres, tout le monde a voulu me toucher avec des oeuvres à caractère humain, pour que je me reconnaisse de la parenté sentimentale avec les autres êtres humains, et ça m'énerve, les oeuvres, avec leur volonté de toucher le monde, comme ça, avec leur petit air de connaître nos préoccupations en tant qu'êtres humains quand, en fait, moi ça n'a rien à voir avec les autres.